Le Français moderne
revue de linguistique
L'une des plus anciennes revues de linguistique française.
Elle est l'indispensable outil des études universitaires sur la langue française.
Tables analytiques annuelles.
Directeur de la revue : Jean-Marie KLINKENBERG
* Revue semestrielle - Format : 15,5 X 24 - 140 pages.
* Abonnement annuel, 60 euros (port compris)
* Édition CILF : 11 rue de Navarin 75009 Paris
* Les anciens numéros disponibles sont en vente au prix de 30 euros l'unité.
Revue Le Français moderne 2011
SOMMAIRE n° 1 - 2011
Figures de l’à-peu-près
- Alain Rabatel, Pour une analyse pragma-énonciative des figures de l’à-peu-près
- Marc Bonhomme, À-peu-près structural et énonciatif dans le mot-valise
- Alain Rabatel, Figures d’à-peu-près et nom propre
- Anna Jaubert, Le calembour ou la pragmatique du trait /facile/
- Lucile Gaudin-Bordes et Geneviève Salvan, « Au plus près du discours » : l’anacoluthe
- Marc Angenot, La rhétorique de l’argumentation comme science de l’à-peu-près
- Claire Badiou-Monferran, Le paralogisme en régime littéraire : enthymème raté ou figure de l’à-peu-près ? Un cas d’école : La Fontaine
- Michele Prandi, Métaphore, similitude, à-peu-près
- Claire Stolz, L’à-peu-près dans la langue romanesque du XXe siècle avant 1968 : de la faute de français à la figure dialogique
- Michael Rinn, L’à-peu-près dans la figuration de la violence rhétorique
- Éric Bordas , L’à-peu-près et l’à-peu-prèisme : lexicalisation d’un lieu commun
- Frédéric Sabio, Au revoir à Claire Blanche-Benveniste
SOMMAIRE n° 2 - 2011
- Jean-Denis Gendron, L’accent québécois révélateur du double style de prononciation pratiqué à Paris aux XVIIe et XVIIIe siècles et de l’origine de l’accent bourgeois du XIXe siècle
- Mathieu Avanzi, La dislocation à gauche en français spontané. Étude instrumentale
- Céline Corteel, Quand même s’en mêle : coquetterie discursive ou nécessité ?
- Pauline Haas, Être en guerre vs être en pleine guerre : analyse sémantique de plein
- Pierre Larrivée, Au-delà de la polyphonie
- Marie-Guy Boutier, Pour une étymologie multidimensionnelle : l'exemple de fr. et wall. gosette
- Francine Mazière, Jacques Chaurand était un linguiste enthousiaste
- Comptes rendus
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